retour de Jésus Christ

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Luc 18: 1Puis Jésus dit à ses disciples une parabole afin que soit gravé en eux qu’ils doivent prier constamment sans jamais se décourager. 2Il y avait dans une certaine ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait personne. 3Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait le trouver régulièrement pour lui dire: « prononce un jugement contre l’homme qui tente de me détruire. » 4Pendant longtemps il refusa, puis un jour il dit en lui-même: « je ne crains pas Dieu et je n’ai de respect pour personne; 5 mais parce que cette femme est une réelle peste, je vais faire en sorte qu’elle obtienne justice; sinon, elle continuera à venir me voir et à me harceler jusqu’à ce qu’elle m’épuise totalement !

6 Puis le Seigneur commenta: Notez bien ce que dit ce juge corrompu. 7Alors, Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient à lui jour et nuit ? Tardera-t-il à leur égard ? 8Je vous dis qu’il jugera en leur faveur rapidement ! Mais quand le Fils de l’Homme viendra, trouvera-t-il cette foi sur la terre ?

Le but des paraboles de Jésus. 

Les paraboles de Jésus sont des comparaisons, entre les choses célestes et les choses terrestres, afin de rendre les premières compréhensibles. C’est aussi un genre littéraire fleurissant au temps du Christ et ayant trait à l’Apocalypse, ou plutôt les apocalypses. Ces paraboles sont en relation avec les choses dernières, comme c’est le cas pour toutes celles où Jésus commence par dire : Le Royaume des Cieux est semblable à… Il s’agit de paraboles qui concernent la venue du Royaume des Cieux. 

Cette parabole de la veuve et du juge corrompu est une exhortation à ne jamais se relâcher dans la prière, et elle aboutit au point essentiel qui est: Mais quand le Fils de l’Homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? Nous voyons ici que nous parlons bien des choses dernières.

Jésus a donné un certain nombre de paraboles qui soulignent ce que sera la plus grande épreuve que ses disciples connaîtront durant la période de son absence physique.

Deux catégorie de paraboles concernent, pour l’une, la première venue du Seigneur, et pour l’autre, la deuxième venue de Jésus. Pour Jésus, le Royaume des Cieux vient en deux temps: un temps de semailles et un temps de moisson. Entre ces deux périodes, il y a un long intervalle que Jésus ne chiffre pas et qui est aussi le temps de son absence, semblable au temps qui sépare les semailles du temps de la moisson, c’est-à-dire le temps de la pousse et de la maturation de la graine. Jésus laisse entendre que ce temps sera très long et difficile. Et ce qui sera le plus dur, sera le fait de devoir attendre au point que le Royaume semblera ne jamais venir. 

Jésus les averti aussi que durant ce temps, l’ivraie (mauvaise herbe) croîtra avec le bon grain et menacera de l’étouffer:

Matthieu 13: 24Jésus leur raconta une autre parabole: Le Royaume des Cieux est semblable à un homme qui sema de la bonne semence dans son champ; 25mais pendant que les gens dormaient, l’ennemi vint et sema de la mauvaise herbe parmi le blé, puis il s’en alla. 26Quand le blé monta et commença à former des épis, la mauvaise herbe (l’ivraie) apparut aussi. 27Le serviteur du propriétaire alla le voir et lui dit: « Seigneur, n’as-tu pas semé de bons grains dans ton champ ? D’où vient l’ivraie ? » 28Il répondit: « C’est un ennemi qui a fait cela ». Le serviteur lui demanda: « Veux-tu que nous allions arracher la mauvaise herbe ? » 29Mais il leur répondit: « Non ! Car si vous arrachez la mauvaise herbe, vous risqueriez d’arracher aussi le blé. 30Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson, et au moment de moissonner je demanderai aux moissonneurs d’enlever d’abord les mauvaises herbes, de les lier en bottes afin qu’elles soient brûlées, mais pour le blé, je leur demanderai de le rentrer dans ma grange ».

Nous pouvons mettre en relation ces deux paraboles, celle de la veuve et du juge inique avec celle du l’ivraie et du bon grain, et au sujet de cette dernière, les disciples s’étonnèrent en demandant pourquoi il n’arrachait pas la mauvais herbe. On trouve un peu la même idée dans la parabole de la veuve. Cette veuve représente les disciples, le peuple de Dieu, les élus. Durant le temps de l’absence de Jésus, les disciples de Jésus vont avoir des problèmes avec l’ivraie. Naturellement, leur réaction sera de se tourner vers Dieu en tant que juste juge pour lui demander, comme la veuve dont il question ci-dessus: « prononce un jugement contre l’homme qui tente de me détruire», ou en d’autres termes, fais-moi justice contre ma partie adverse. La difficulté sera que la réponse de Dieu à cette prière ne viendra pas tout de suite. Ainsi, durant longtemps, les disciples de Jésus seront la proie des méchants, de même que le bon grain sera la proie de l’ivraie dans le champs semé. Les disciples se posent naturellement une question qu’il vont poser à Dieu, mais pourquoi n’interviens-tu pas ? Pourquoi laisses-tu réussir les méchants, pourquoi les laisses-tu prospérer, et laisses-tu les justes être la proie et les victimes des méchants ? Une question qui nous taraude depuis l’Ascension, mais que l’on retrouve également dans les Psaumes, dans le livre de Job, dans l’Ecclésiaste, qui montre que tous sommes confrontés à cette apparente inaction de Dieu. 

Psaume 73: 2Mais quant à moi, j’ai perdu pied, mes pieds ont presque glissé, 3lorsque j’ai été jaloux de l’arrogant et que j’ai vu comment les méchants prospéraient. 4Car lorsque leur mort vient, elle est sans douleur; et en attendant, leur corps est en bonne santé; 5ils n’ont pas les troubles des gens ordinaires, ils ne sont pas tourmentés comme les autres.

Cette déstabilisation, cette façon de perdre pied constitue un piège pour les disciples du Christ, et pour tout chrétien. Un sentiment qui éprouve aussi cette veuve qui se retrouve devant ce juge qui laisse aller les choses sans lui faire justice. Dans cette parabole, nous voyons donc que durant les temps de la fin il pourrait paraitre légitime de se demander si Dieu n’est pas un juge injuste. Peut-on compter sur la justice de Dieu si de toute façon Dieu ne répond pas ? 

C’est là que se situe la grande difficulté pour les disciples de Jésus, d’être tentés de se laisser aller à faire comme les méchants, parce que Dieu ne répond pas. Jésus pointe dans ces paraboles, le plus grand piège des temps de la fin. Si Jésus nous donne ces paraboles, c’est précisément pour nous éviter de rentrer dans ce raisonnement-là. 

2 Pierre 3: 9Le Seigneur ne tarde pas à accomplir sa promesse, comme certains imaginent qu’il tarde. Au contraire, il use de patience envers vous, voulant que personne ne périsse mais que tous se détournent de leurs péchés.

Matthieu 5: 45Car il fait briller son soleil aussi bien sur les bons que sur les méchants, et il fait pleuvoir sur les justes comme sur les injustes.

Tout cela signifie que durant cet intervalle entre les deux venues de Jésus, le Seigneur veut donner le maximum de chances au maximum de gens de se tourner vers Jésus comme Sauveur et Seigneur. Et cette idée est reprise dans une autre parabole qui est celle du filet jeté dans la mer:

Matthieu 13: 47Le Royaume des Cieux est encore semblable à un filet qu’on a jeté dans le lac pour ramasser toutes sortes de poissons. 48Quand le filet est plein, les pêcheurs le tirent sur le rivage, puis ils s’assoient et mettent dans des paniers les bons poissons et rejettent ceux qui ne valent rien. 49Il en sera de même à la fin de cet âge; les anges viendront séparer les justes d’avec les méchants 50et jetteront ces derniers dans la fournaise ardente, où ils pleureront et grinceront des dents.

Dieu suspend ses jugements afin que les méchants puissent se repentir de ce qu’ils font, mais cela a pour conséquence que les justes sont victimes de cette situation-là en devant supporter d’être la cible des méchants sans que Dieu n’intervienne. Cela constitue pour les justes l’une des choses les plus difficiles à supporter. Ces paraboles sont données aux justes pour qu’ils ne se découragent pas. Beaucoup de pêcheurs s’imaginent que Dieu est un Dieu faible parce qu’il n’intervient pas, mais ils ignorent qu’un temps viendra où le tri entre les bons poissons et les mauvais se fera, de même que le tri sera fait entre les justes et les injustes. Il ne faut pas s’imaginer que parce que les jugements de Dieu tardent, ils ne viendront jamais. 

Dans la parabole de la veuve, Jésus montre que même si la veuve était consciente de ce que le juge était injuste, elle ne s’est pas découragée pour lui réclamer justice, et qu’elle à eu gain de cause en revenant à la charge avec persévérance, jusqu’à avoir gain de cause de la part du juge, à l’usure. Et donc Jésus dit que si ce juge injuste a fini par faire justice à cette veuve à cause de son insistance, à plus forte raison Dieu, qui lui est juste juge, ne fera-t-il pas justice à ses élus, si du moins ils crient à lui nuit et jour, comme la veuve dont il est question ici. Nous sommes là au coeur de cet enseignement de Jésus; quand viendront les temps de la fin, on aura l’impression que le Seigneur ne reviendra jamais, et qu’il n’exercera jamais ses jugements. La tentation sera alors forte de se décourager et de vouloir faire comme comme les méchants. 

La question centrale qui est de savoir si, quand le Fils de l’Homme viendra sur la terre, il trouvera la foi sur la terre, n’est pas de savoir si les hommes croiront en Dieu, mais s’ils auront la foi dans son retour, sa justice et en la rémunération qui est la sienne. Voilà l’enjeu de cette question.

D’autres paraboles vont exactement dans le même sens. Notamment la parabole des dix vierges. 

berne munster vierges folles

Matthieu 25: 1Alors, le Royaume des Cieux sera semblable à dix demoiselles d’honneur qui, ayant pris leurs lampes, s’en allèrent à la rencontre du fiancé. 2Cinq d’entre elles étaient insensées et cinq étaient sensées. 3Les insensées prirent leurs lampes avec elles mais sans emporter d’huile, 4tandis que les autres prirent, avec leurs lampes, des fioles remplies d’huile. 5Or, comme le fiancé se faisait attendre, elles allèrent toutes se coucher. 6Au milieu de la nuit, un cri retentit: « Le fiancé est ici ! Sortez à sa rencontre ! » 7Les jeunes filles se réveillèrent et préparèrent leurs lampes pour s’éclairer. 8Les insensées dirent aux sensées: « Donnez-nous un peu de votre huile, car nos lampes sont en train de s’éteindre ». 9« Non », répondirent-elles, « il n’y en aurait pas assez pour nous et pour vous. Allez en chercher chez les marchands d’huile et achetez-en pour vous ». 10Mais, tandis qu’elles partaient en acheter, le fiancé arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte se referma. 11Plus tard, les autres demoiselles arrivèrent et s’écrièrent: « Seigneur, Seigneur, laisse-nous entrer ! » 12Mais il répondit: « Je vous le dis, je ne vous connais pas ! » 13Soyez donc vigilants, car vous ne connaissez ni le jour, ni l’heure.

La parabole nous dit que les vierges s’endormirent toutes. Si dans la Bible, s’endormir est souvent quelque chose de négatif, ici c’est plutôt neutre, ce n’est ni bien ni mal, c’est juste que l’époux tarde et qu’elles sont fatiguées, donc elles se reposent. S’endormir n’est pas le problème, dans le contexte c’est une chose normale. Au milieu de la nuit, l’époux arrive, et le Nouveau Testament parle à plusieurs reprises du retour de l’époux qui viendra comme un voleur au milieu de la nuit, à l’heure où personne ne s’y attendra. Cela signifie que la venue du Seigneur sera une surprise pour tout le monde. Les justes et les injustes, les sensées comme les insensées. Ce qui en revanche constitue une différence entre les vierges sensées et les vierges insensées, c’est que les premières sont prêtes, mais pas les secondes, et elles n’ont pas de provision d’huile pour leurs lampes. On peut comparer cette huile à garder la parole de Dieu, et la mettre en pratique, prier avec persévérance. L’enseignement que Jésus tire de cette situation est le suivant: « Veillez donc et priez en tout temps, puisque vous ne connaissez ni le jour, ni l’heure ». Cela veut dire être prêt comme si le Seigneur devait arriver à tout moment. 

Plus le temps passera, plus cela deviendra difficile, parce que tout le monde sera tenté d’oublier d’être sage et de veiller en priant, parce qu’il semble que rien ne se passe. Et le risque est de vivre égoïstement pour soi-même et non plus pour le Royaume des Cieux, parce que nous croyons que nous avons encore le temps. Il y a dix vierges, comme les doigts de nos mains, cinq qui sont à la droite et cinq qui sont à la gauche, comme dans la parabole de la séparations des brebis d’avec les boucs. Les brebis seront placées à la droite, et les boucs seront placés à gauche puis chassés. Les vierges sensées seront à la droite, et les insensées resteront dehors de la salle des noces. C’est une invitation à être prêt pour être du bon côté. Il ne sera plus temps de se préparer au moment du retour de l’époux, c’est maintenant qu’il faut se préparer pour être toujours prêt. Il est insensé de s’imaginer que nous avons le temps et de penser que nous n’avons qu’à jouir et profiter de la vie sans chercher le Royaume de Dieu en tout temps.

Matthieu 25: 32Toutes les nations seront rassemblées devant lui, et il séparera les gens les uns des autres comme un berger sépare les brebis et les boucs. 33Les brebis seront placées à sa droite, et les boucs à sa gauche.

Dans la parabole, Jésus ne dit pas explicitement ce qu’est l’huile, et il ne dit pas que c’est le Saint-Esprit, l’huile d’onction comme c’est souvent le cas dans la Bible. Ici, l’huile représente le fait d’être prêt, et l’absence d’huile symbolise le fait de ne pas être prêt, c’est ce qu’il est important de comprendre, à savoir, qu’est-ce qui constitue le fait d’être prudent, ou imprudent, sensé, ou insensé. Nous pouvons revenir légèrement en arrière dans Matthieu 24: 45Quel est le serviteur fidèle et prudent que son maître a établi sur tous les autres serviteurs de la maison pour leur donner leur nourriture en temps opportun ? 46Tout ira bien pour ce serviteur s’il est en train de faire son travail quand son maître viendra. 47Oui, je vous le dis, il lui confiera la charge de tout ce qu’il possède. 48Mais si c’est un mauvais serviteur, il se dira en lui-même: « Mon maître tarde, » 49et se mettra à battre ses compagnons de service et à passer son temps à manger et à boire avec des ivrognes; 50alors son maître arrivera un jour où le serviteur ne l’attendait pas, à l’heure qu’il ne connaissait pas; 51il le mettra en pièces avec les hypocrites, là où les gens pleureront et grinceront des dents ! 

Le serviteur prudent, sensé, s’arrange pour ne pas être pris au dépourvu en étant toujours prêt, et même s’il est surpris par le retour du maître, il s’arrange pour ne pas être trouvé dans une situation embarrassante ou compromettante. Le mauvais serviteur se dit lui aussi que son maître tarde à venir, mais au contraire de la veuve qui persévère avec fidélité et patience, il se dit qu’il peut en profiter pour manger, boire et se quereller avec d’autres. Nous pouvons voir beaucoup de disputes et de dissensions dans nos églises et communautés et aussi entre églises, ce qui est attristant, mais pas seulement. En effet, comment pouvons-nous imaginer que dans ce contexte, nous puissions être bénis par le Seigneur ? Alors que nous nous querellons ? 

Aujourd’hui, dans beaucoup d’églises, ce n’est plus chercher le Royaume des Cieux et sa justice qui est mis en premier, mais c’est moi d’abord, ce sont les ambitions et les défis personnels. Chacun y va de la réalisation de ses propres projets, de ses propres désirs, de ses propres ambitions. Chacun se soucie d’abord de son confort, de ses intérêts, de son bien-être, selon les principes de ce monde. Finalement pour beaucoup de chrétiens aujourd’hui, ce n’est pas de suivre Jésus qui est important, c’est-à-die suivre son enseignement, mais d’utiliser Jésus à des fins personnelles. Aujourd’hui, beaucoup de chrétiens ne s’intéressent pas à Jésus et son enseignement, ils veulent juste éventuellement le salut, la guérison, la réussite, des réponses à leurs problèmes. Ils veulent Jésus juste pour les bénédictions. Pour beaucoup de chrétiens aujourd’hui, avoir la foi c’est voir des manifestations miraculeuses d’abondance, de guérison, des signes que le Seigneur est au milieu de nous. Mais ce ne sont pas des manifestations d’un réveil, ou de la sagesse des vierges sensées, ou du bon serviteur. Il s’agit ni plus ni moins de formes d’idolâtrie, c’est avoir dans sa vie quelque chose qui a plus d’importance que Dieu.

Jésus dit: Matthieu 10: 37Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi, n’est pas digne de moi. 38Celui qui ne se charge pas de son poteau d’exécution et ne me suit pas n’est pas digne de moi. 39Celui qui trouvera sa vie la perdra, mais celui qui perd sa vie pour moi la trouvera. 

A partir du moment où nous plaçons notre moi au centre de notre vie, au moment où notre moi a plus d’importance que Dieu, nous devenons nous-même notre propre idole, par conséquent nous commettons parmi les pires péchés que nous puissions commettre, nous volons ce qui est la gloire de Dieu pour se l’attribuer à soi-même. Comment s’imaginer que le Seigneur nous prendra avec lui quand il reviendra et nous trouvera dans une situation pareille… Nous risquons ainsi d’être le mauvais serviteur dont il est parlé dans la parabole. Beaucoup d’églises vivent dans une bulle, ignorant ce qui les entoure, et se gargarisant de leurs petits projets locaux. 

Lors de son voyage inaugural, les gens du Titanic s’étaient fait dire que même Dieu ne pourrait envoyer ce bateau par le fond. Et lorsque le drame les a atteints au beau milieu de la nuit, de très nombreux passagers sur le paquebot ne se rendirent pas compte du drame. Ils mangeaient et buvaient dans les restaurants du bateau, et ils dansaient dans le grand salon au son de l’orchestre. Ce n’est que quand la situation ne pu plus être cachée qu’ils comprirent que leur heure était arrivée et que la mort les attendait. Dans beaucoup d’église évangéliques, nous dansons et chantons des chansonnettes et des louangettes, en pensant que les choses vont perdurer encore longtemps, à l’instar des passagers du Titanic. On pourrait aussi comparer notre situation à celle de la cigale et la fourmi. La cigale ayant chanté tout l’été… se trouva fort dépourvue…

Quand le Fils de l’Homme reviendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ?

Ce texte est le résumé d’une conférence de Jean-Marc Thobois, que vous pouvez regarder ici :

Vous trouverez d’autre part de nombreuses conférences très intéressantes et édifiantes de Jean-Marc Thobois, ainsi que des enseignements sur le site de l’Association Keren Israël et sur le site Enseignements Jean-Marc Thobois.